Il y a longtemps que le Bernard fricote avec le Nicolas ; ils ont été présentés en… 1983 par Jacques, 
vous savez celui qui se vantait d’avoir inventé le slogan « la force tranquille » pour François. Gros nombril, va !
Bernard et Nicolas, le duo de comiques involontaires ! Comiques aux tristes figures, duettistes néfastes énormément. Si bien que Bernard a appelé à voter Nicolas en 2007.
Déjà, ministre de l’Intérieur, Nico aurait préparé un amendement permettant l’abandon des poursuites judiciaires (Bernard en étant partie prenante) au bénéfice d’une procédure d’arbitrage dans le cas d’un contentieux où une structure publique serait impliquée. (Ce qui est interdit par l’article 2060 du Code civil !). Le 15 février 2007, le Garde des sceaux, Pascal pour les dames, fait voter un tel amendement. Invalidé par le Conseil constitutionnel quinze jours plus tard.
A peine élu, Nico impose le tribunal arbitral dans l’affaire concernant le Bernard ! Sachant pertinemment l’illégalité de sa décision ! Ce qui s’appelle avoir de la suite dans les idées… vicieuses.
En effet, avant cela, des jugements ont été prononcés : un premier au détriment de Bernard, un second en appel en sa faveur, et enfin à son détriment en cassation en octobre 2006. Le monde des affaires lui est fermé.
Que non ! Dans la « Nicolaterie », on chouchoute les intérêts particuliers.
Le tribunal arbitral se compose donc de Pierre, ancien président du Conseil constitutionnel qui invalida l’amendement autorisant le recours à l’arbitrage, mais aussi de Jean-Denis, ancien président des radicaux de gauche dont le Bernard fit partie et un autre Pierre, magistrat à la retraite qui avait été critiqué pour un précédant arbitrage dans l’affaire ELF. Chacun des trois experts a touché 300 000 € d’après « Le canard enchaîné ». Procédure couverte par une « clause de confidentialité », laquelle procédure mène au versement de 390 millions d’€ au Bernard !! (le bon argent du contribuable). Cela en pleine crise financière…
Et, pour une fois, pas de rodomontade du Nicolas…
A défaut de pouvoir récupérer ces millions d’€ par le fait d’une finasserie juridique, a été mise en cause la Christine, ministre de l’Economie, prédestinée par son profil de bec verseur non pas à « un merveilleux thé, ma chère !», mais à une coulée monstrueuse de liquidités extorquée aux contribuables, on ne le répétera jamais assez…
A quoi a servi au Bernard cette montagne de « fraîche » ? A racheter - sans vergogne - des journaux du Sud-est !!
Quand on sait que pour le Bernard, il y a deux sortes de journalistes : les « bons » qui ne pipent mot aux ordres, et les salopards qui veulent faire leur métier en conscience…
Les citoyens concernés peuvent s’attendre à de multiples tentatives de tromperies, duperies, fourberies. Délibérées. Flouons l’électeur !
Quelle mascarade…
J.Thibault, auteur de « Ô AUDIMAT… », de l’ironie au satirique.
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