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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 18:14
RACISME, BEAUFERIE, RACISME ORDINAIRE
   L'Hortefeux s'emberlificotte...
   Tous les clients de bistrots, et même ceux qui s'accoudent au bar le temps d'un café, tous vous diront que la saillie du sieur Hortefeux fait partie intégrante des plaisanteries beauf, à connotation raciste, habituelles dans les bistroquets. Racisme ordinaire.
   Et ce n'est pas son amalgame laborieux, avec prétendue adresse aux auvergnats présents, qui trompera beaucoup de monde !
   "Mais qui a donc inventé cette saloperie de téléphone portable qui peut servir à filmer et enregistrer ! Hein ? hurle cet estampillé HUM-PE. Qu'il existe des Black-Berry pour Notre Président, des "smart-phones" pour les cadres supérieurs, très bien. Mais que le moindre lambda puisse ainsi se déguiser en mouchard...". Suit une bordée de grossiéretés.
   C'est vrai, quoi, si on ne peut plus être soi-même dans son parti politique...
   En plus, cela en dit long sur la qualité des choix du Kaporal élyséen ! Le grand monsieur dérapant, il l'a choisi pour diriger le ministère de l'Immigration dont la promesse de création a si bien servi  à blouser les  ex-voteurs du Front National. Puis il l'a propulsé au ministère de l'Intérieur. Où il officiait lui-même dans sa perspective de conquête du pouvoir "susprême". Tout ceci parce qu'il le revendique comme son ami.
   On a les amis que l'on mérite...
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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 16:41
   INTERET PARTICULIER, INTERET GENERAL, BANQUES DE DEPOT ET BANQUES D'AFFAIRES, SARKOZY REACTIONNAIRE
   Ah, c'est une belle réussite. Tandis que je me consacrais à la chaise longue, j'apprenais que les banques avaient fait de l'argent pendant la crise ! C'est politiquement une grande réussite de l'Ultra-réac soi-même ! L'intérêt financier particulier l'emporte sur l'intérêt économique général ? Est-ce possible...
   "On" a juste oublié de séparer les deux métiers des banques : activités de financement ordinaire ET activités de marché. Il aurait fallu, pour diriger le soutien public vers les entreprises, une nationalisation temporaire en début de crise. Puis ensuite, séparer les deux métiers des banques. Exactement ce qu'avait fait Roosevelt et qui a tenu jusqu'en 1990.
   Mais aujourd'hui, avec un réactionnaire fieffé... nous n'avons que l'esbrouffe. Ca commence par des gros titres dans les journaux : "Sarkozy = ultimatum aux banquiers". Et trois lignes plus bas : "Le gouvernement exclut de forcer la main aux banquiers" avoue-t-on en haut lieu". Et cela avec chantage mou à la clé, dénoncer publiquement les établissements rétifs. En retour, chantage au départ des salles de marché parisiennes vers Londres en cas de fiscalité supplémentaire.
   Nous voilà à Guignol !
   Et si l'Etat était entré dans les conseils d'administration... ?
   Il y a mis assez de (notre) grisbi !!
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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 15:29
   FORFAIT HOSPITALIER, SECURITE SOCIALE, DENTITION, RETRAITES,  MEDICAMENTS, EXAMEN MEDICAL, BOUCLIER FISCAL
   Mon voisin de palier, le père Louis, est plutôt remonté ! Il "groume", comme il dit. C'est qu'il a une note à la Sécu, faramineuse.
   "Tu pense, l'autre, l'Ultra-réac qui me pompe cinquante centimes sur chaque boîte de médicaments et un euro à chaque examen; à mon âge, je suis plutôt "exposé". C'est égal, taxer les vieux et les malades, faut en avoir du cynisme à revendre ! Tiens, mate donc mon trou".
   Il m'indique son incisive manquante. "On va bientôt avoir la dentition des Indiens d'Amazonie. Ils auront au moins réussi ça, les deux "libéraux libérés", Sarkozy-Fillon, le tandem du rétropédalage. Ils ne veulent pas connaître les affres engendrés par les problèmes de trésorerie, les ventrus !".
   Remonté, il l'est : "C'est comme les promesses du monsieur-qui-souffre-de-sa-petite-taille =
      "C'est tout de même extraordinaire, qu'il pétarade, les retraites sont payées le 9 du mois ! C'est inadmissible."
      Bombage de torse.
   Et... rien. Les retraites sont même versées le 10 ou le 11 du mois quand le 9 tombe un dimanche, ou encore un samedi. Ca s'appelle gâcher de la salive.
   Et, là-dessus, annonce du "relèvement" du forfait hospitalier, 25 % qu'ils envisagent, ça c'est du relèvement. "A ne pas s'en relever, couine le père Louis. Tu comprends, p'tit gars, qui vole un oeuf, vole un boeuf; car c'est carrément du vol. L'Ultra-réac, il a commencé avec le bouclier fiscal : c'était gonflé, le bouclier fiscal. Y'a pas eu de rebuffade, alors il continue. Qui vole un oeuf... t'as compris ce qu'il faudra pour que ça s'arrête... ?"
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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 17:22
                 TRAVAIL DU DIMANCHE, DUREE DU TRAVAIL, CONGES PAYES,
   Combien de Français croient encore les mensongtes de Sarkozy et Fillon, proférés pendant la campagne électorale, quand ils affirmaient "les Français travaillent moins que leurs voisins".

   S'ils en rajoutent ainsi c'est que la droite, depuis un siècle, est opposée à la réduction du temps de travail.
   Combien de Français ignorent qu'il a fallu que l'Eglise et la CGT s'allient, en 1906, pour obtenir le repos du dimanche. Figurez-vous que cela allait "déstabiliser notre industrie" !
   En 1936, tous les autres pays d'Europe bénéficiaient déjà de congés payés. Cependant, en France, la droite racontait à qui voulait l'entendre que ces congés payés allaient augmenter l'alcoolisme de l'ouvrier ! Un quotidien proche du patronat titrait même : "La France ivrogne" ! Ces congés payés allaient aussi favoriser une paresse délétère ("Les ouvriers vont partir à la mer, ils ne reviendront pas" !!).
   La honte !
   Et pourtant, tous les pays qui ont un taux de chômage inférieurs au nôtre, ont aussi des durées moyennes de travail inférieures à la nôtre.
   C Q F D , non ?
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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 15:12
                                          COMMISSIONS, LOIS, SEPARATION DES POUVOIRS, FARCES
   Il y a eu, dans un passé récent, le petit roitelet annonçant tout à trac que sur les chaînes de télés publiques la publicité "c'est ter-mi-né !". Très bien, mais il fallait une loi... les délibérations s'engagent quand survient le 1er janvier. C'était la date retenue par le kaporal-chef ! Les sénateurs n'eurent pas le temps d'achever leurs discussions, la décision fut appliquée. Légaliste, dites-vous ?
   C'est-y pas un superbe exemple pour la belle jeunesse de notre beau pays ?
   La nomination du patron des chaînes publiques par le kaporal élyséen, ça ne rend pas ces mêmes chaînes indépendantes du pouvoir ? Croyez pas ?
   C'était juste un peu trop gros, heu... trop grossier.
   Alors, aujourd'hui, Il crée des "commissions". En vérité, tout d'abord il proclame la disparition du juge d'instruction; puis constitution d'une commission pour "réfléchir" sur le sujet.
   L'attente est fébrile.
   Que va donc décider cette commission Léger ? Les journalistes se perdent en conjonctures...
   Et puis, le dit Léger rend les conclusions des "travaux" de sa commission : "Il faut supprimer le juge d'instruction". Ca par exemple ! justement ce que désirait et avait proclamé par avance l'Ultra-réac de l'Elysée...
   Nous sommes dans le gros comique.
   Le magasin de farces et attrapes est ouvert. Même le dimanche.
   Grosse, grosse ficelle !!
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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 18:10

                                         GRIPPE, GRIPPE A, H1N1, CONTAGION, EPIDEMIE, PANDEMIE
   "Non, nous n'en faisons pas trop !" clame la si peu maniérée ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, à propos des mesures anti-grippe A. Tiens, tiens, est-ce qu'il y aurait lieu de se... disons, disculper ?  (voir AH ! S'IL POUVAIT Y AVOIR LA PESTE... ! - Satires et contusions )
   Tout cela, pour l'heure, sur l'île de la Réunion.
   Et les journalistes, pas là du tout pour en rajouter : "... les parents guettent la sortie de leur petie, une boule dans la gorge. Est-il passé au travers des griffes du H1N1 ?"
   Un médecin urgentiste du Samu dénonce dans "Le journal de l'Ile" : "l'alarmisme de la ministre de la Santé autour de cette épidémie que les spécialistes internationaux considèrent comme peu grave". Un autre médecin : "Les gens sont plus angoissés que pour l'épidémie de chikungunya, il y a trois ans; c'était pourtant autrement grave".
   L'OMS indique que l'écrasante majorité des patients se rétablissent généralement, même sans traitement, en l'espace d'une semaine. Et puis... elle pousse les Etats à se préparer au scénario du pire !?
   Mais alors, pourquoi le gouvernement chéri n'a-t-il pas réclamé un avis public à un comité scientifique (pas à une commission à la Sarkozy...), tout comme lors de la crise de la "vache folle" ou du moratoire sur les OGM ? Pourquoi ?
   Par-dessus le marché (c'est le mot !), les labos pharmaceutiques ont annoncé des dates de livraison parfaitement optimistes (pour se faire un monceau de blé ? vous croyez ?). Si bien que le vaccin sera disponible après le pic de contamination...
   La parade serait de se laver les mains fréquemment. D'autant qu'un épidémiologiste rappelle que les vaccins antigrippaux sont à efficacité limitée; il fait remarquer également "qu'il n'y a pas de marché pour l'eau et le savon" (!!)
   Mais alors, pourquoi tout ce ram-dam ?

   Prêtons l'oreille au Premier Ministre Vroum! vroum! : "Mais si nous ne faisions pas ça, les mêmes à la même heure, diraient qu'on n'a pas pris la mesure de la situation et (savourez l'aveu :) se retourneraient contre nous".

   Vendue la mèche ! C'était donc ça : une décision à des fins hyper-politiciennes à 879 millions d'euros (de vaccins) ?

   Sanitaire, quand tu les tiens...

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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 16:52
   FISCALITE DIRECTE, TAXE TOBIN, PARTI DE GAUCHE, FRONT DE GAUCHE, PCF, NPA, VERTS, MODEM
   Je ne peux pas attendre plus longtemps pour me réjouir; ce n'est pas comme le répètent les télés et la presse, toujours rabat-joie à propos de la gauche : "Le constat, dirait le MoDem, que ce qui nous ressemble est plus important que ce qui nous sépare", formule volontairement et pernicieusement floue qui fait dans le consensus mou. Non ! Le MoDem vire à gauche.
   Des "verts" qui se déclarent carrément de gauche, Cohn-Bendit qui tempète de même; le MoDem, lui, par la bouche de Marielle de Sarnez qui proclame la necessité de la taxe Tobin, l'entrée des représentants de l'Etat dans les conseils d'administration des banques et des entreprises aidées par la puissance publique, et la lutte contre les salaires abusifs par la fiscalité (oui, oui, vous avez bien lu)... les voilà tous sur la même ligne que la Parti de Gauche, le Front de Gauche, et pas bien loin du NPA !!
   Champagne !
   Car c'est d'abord dans un accord de programme à mettre en pratique entre les deux tours qu'on réussira les "régionales".  (voir UN PROCESSUS EXEMPLAIRE - Satires et contusions )
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21 août 2009 5 21 /08 /août /2009 17:11
             MANOEUVRE, COMBINE, POLITIQUE POLITICIENNE, MAGOUILLE ELECTORALE

   Enfermé entre les quatre murs (euh... et un peu plus) de belle-maman, l'ultra-réac fait chauffer jusqu'au rouge vif son cher portable. Pourquoi donc ?
   Pour draguer le vicomte du Puy-du-Fou, un souverainiste (convaincu ?). Il attire, par la même occasion, le représentant des chasseurs (à qui il va falloir offrir quelque chose : le gibier a du mourron à se faire !)
   Tout ça dans l'espoir d'être en tête au premier tour des Régionales. "Ratissez large !". Et recommencer l'intox des européennes en faisant claironner "l'HUM-PE vainqueur !", "l'HUM-PE vainqueur !".
   Comment écrivez-vous "politicard" ?
   Et "politicaillerie" ?
   Ca m'éreinte cette obsession qu'il a de l'intérêt général...
   Je vais me reposer la bile une semaine.
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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 16:16
                            TRAVAIL DU DIMANCHE, CONVENTIONS COLLECTIVES, NEGOCIATIONS

   Alors que je me rasais en ne pensant à rien d'autre, une info à la radio me ramène à la dure réalité. C'est la Présidente des commerçants de Saint-Malo qui s'offusque de la nouvelle loi votée par le troupeau de moutons de l'Hum-PE, au sujet du travail du dimanche.
   "Je ne comprends pas cette loi : c'est un retour en arrière ! A Saint-Malo, nous ouvrons seulement un dimanche sur deux pour préserver la vie de famille, c'est normal. Et nous payons double les dimanches, c'est encore normal".
   Vous avez bien lu : ce n'est pas Besancenot qui parle, ni Mélenchon !
   C'est une patronne commerçante qui tient ces propos.
   Ah, mais c'est que l'Ultra-réac du Cap Nègre (oh pardon, de l'Elysée) en fait une priorité ! D'ailleurs, des priorités, il en a une poche arrière remplie. Toutes d'arrière-garde !!
   Et d'argumenter = ce travail du dimanche se fera sur la base du volontariat. Tas d'hypocrites ! Comme ils sont retors... Comme si le salariat n'était pas en état de subordination au "boss"... Il n'imagine même pas, le kaporal-chef Sarkozy, qu'il s'adresse à une foule de types et de typesses qui éprouve ça quotidiennement ? Il reste entendu qu'une partie des employés, pour améliorer leurs pauvres revenus, sont prêts à tous les renoncements, y compris à sacrifier leur vie de famille, ne saisissant pas la plupart du temps, que cette souffrance, ils la doivent à la rapacité patronale. C'est la raison pour laquelle une négociation un tant soit peu équitable ne peut se dérouler que par branches d'activité.
   Tandis que l'Ultra-réac se la coule douce chez belle-maman, lui, il préconise évidemment la négociation par entreprises... On est réac ou on ne l'est pas !
   Et vive le Cap Nègre !!
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14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 16:37
                                                                              GRIPPE, CONTAGION, EPIDEMIE, PANDEMIE
   "La grippe A, la star de la rentrée !" s'écrie le laquais-présentateur de la télé-publique. En effet, c'est bien de cela dont il s'agit : le tam-tam autour d'une malheureuse grippe, serait-elle "porcine" (oh ! pardon... chut... dire : "grippe A", ne pas accuser quiconque, surtout pas les élevages industriels !)
   Voilà un dérivatif bien malingre. C'est que notre exceptionnel ultra-réac élyséen a bien besoin qu'on parle d'autre chose plutôt que de social. Il va y avoir une floppée de licenciements, donc peut-être une rentrée "chaude". Il y a grande nécessité à détourner l'esprit de nos concitoyens de leurs tristes préoccupations.
   Ah ! s'il pouvait y avoir une bonne petite épidémie de peste... avec peur panique. Ce serait autre chose ! Le bacille se prélasse chez les rongeurs et se transmet par piqûres de puces; par conséquent, dératisons (je dératise aussi point ne somatise...). Le pouvoir pourrait jouer sur la peur permanente : les immenses zones où la maladie épidémique continue d'exister parmi les rongeurs sauvages; le transport aérien ne produit pas que du CO2 ! Alors, il reste le choix de l'inquiétude : la bubonique, ou la pulmonaire... ?
   Il est alléchant aussi pour un gouvernement dans la mouise (osez regarder en face le déficit !), alléchant d'espérer follement une vague de choléra. En direct du delta du Gange. Là, les bactéries sont strictement réservées à l'espèce humaine (rien à voir avec le choléra des poules). Ce sont des bacilles incurvés, tel le bacille "virgule" : imaginez la trouille de tous les porteurs du logo "Nike"...
   Avantageux également, le danger des porteurs sains qui peuvent atteindre 30 % de l'entourage des malades. De quoi regarder de travers ses voisins de palier. Ne rassure en rien le fait d'apprendre que le vecteur de la contagion peut être les pattes des mouches. Ah ! faire d'une mouche un éléphant, voilà une rouerie typique du staff Sarkozy.
   Sans compter qu'il existe des formes mortelles en quelques heures; le traitement doit être entrepris d'extême urgence. Tout bon ! "l'extrême urgence", cela permet de communiquer ferme !
   Au lieu de ça, pfft... ! une minable gripette à virus, avec fièvre, courbatures; le train-train, quoi.
   D'ordinaire, un Président de la République n'en fait pas état.
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