26 juin 2009
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Je reviens sur le duo "à l'honneur", le duo Sarkozy-Balladur 1993-1995 (voir CORRUPTION, RETROCOMMISSIONS ET POTS-DE-VIN - Satires et contusions )
Les élections de 1993 gagnées, Sarkozy imitant Chirac, Juppé, Fabius passés par le Budget, réclame et obtient le ministère du même nom. Cumulant aussi le poste de porte-parole du gouvernement (on est boulimique ou on ne l'est pas !). Mais la présidentielle de 1995 se rapproche...
" C'est toute la politique budgétaire, écrit le dossier du "Canard enchaîné", qui est sacrifiée aux intérêts électoraux du candidat Balladur, dont Sarkozy est l'exécuteur. On affiche une baisse des impôts, on additionne les petits cadeaux (aux agriculteurs, aux télés... etc.) et on creuse le déficit en jouant le coup de l'"héritage socialiste". [...] Le gouvernement décide de prendre en charge le trou de la Sécu. Mais pas question - déjà à l'époque - de recourir à l'impopulaire CSG ni à l'impôt. L'emprunt indolore pourvoira à tout".
(on ne se refait pas...)
"L'endettement augmente de 700 milliards (de francs). Un vrai record dans l'histoire des finances publiques atteint en deux ans et demi de pouvoir ! [...] Aujourd'hui encore, les économistes ne manquent jamais de rappeler que de là date la surcharge financière pesant sur le Budget".
Les déçus du "sarkozisme" (rien d'autre qu'une recette de droite !) auraient peut-être dû relire cette prose avant la dernière présidentielle. Ils seraient moins estourbis...
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25 juin 2009
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"Le marché global a permis l'apparition d'une corruption globale" écrivait Eva Joly.
Des habitudes de "bons d'échange", de "prélèvements", de retrocommissions, ont été prises. Elles ont été favorisées par la mondialisation des marchés financiers.
Les secteurs où a lieu la grande corruption sont l'énergie, les grands travaux, l'armement... etc. L'armement !
La France est l'un des premiers exportateurs mondiaux dans ce domaine...
Le Floch-Prigent écrivait : "Je sais, concernant les opérations d'armement, que les commissions sont de l'ordre de 25 % à hauteur du marché contre 2,5 % dans le pétrole." ("Affaire Elf, affaire d'Etat" Le Cherche Midi éditeur). Dix fois plus !!
"Nous entrons dans une nouvelle ère !" trompètait Sarkozy entre autres choses...
Ah, ouais... ? Qui donc veut supprimer le juge d'instruction afin que les "affaires" soient traitées par le parquet, par définition aux ordres du gouvernement (c'est-à-dire, dans notre cas de figure, à ceux du kaporal-roitelet). Voilà un fait politique qui en dit long.
Et tombe une information toute chaude : les juges en charge de l'attentat au Pakistan qui a tué onze salariés français de la Direction des Chantiers Navals, estiment que l'attentat pourrait être une vengeance des militaires pakistanais ; en effet, Chirac, une fois élu Président aurait annulé leurs commissions. Mais elles donnaient lieu à des retrocommissions depuis la signature du contrat en 1994. Et qui était Premier Ministre à l'époque ? Balladur ; son ministre du budget : Sarkozy... qui sera également son directeur de campagne en 1995. Les juges soupçonnent que des retrocommissions auraient financé la campagne présidentielle du monsieur Balladur. Et Sarkozy n'aurait rien vu ?? Embarrassé, il proteste : "C'est ridicule, grotesque. Respectons la douleur des familles..."
Justement, les parents des victimes lui réclament des comptes !
Qu'en dit, alors, le duo Ballazy-Sarkodur... ?
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25 juin 2009
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Les observateurs impartiaux notent que la politique de Sarkozy entraîne une régression sans précédent :
- sur le plan du travail,
- sur le plan des retraites,
- sur le plan de l'équité ("bouclier" fiscal est assez signifiant ! mais pas pour tout un chacun !)
... etc.
Accepter un poste de ministre dans ce gouvernement suppose une adéquation avec l'idéologie du Président au dogme libéral en béton armé. Nous avons vu entrer Besson, Kouchner, Amara...
Nous voilà rassurés : le retournement de veste ne provoque aucun lumbago.
Cela ne concerne en rien "le n'veu", lequel s'était déjà entraîné en votant Chirac sans même éprouver le besoin d'enfiler un gant...
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23 juin 2009
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C'est une politique de droite la plus classique (et la plus cynique) à la Pinay, à la Giscard que Sarkozy nous sert ! L'emprunt...
Ce matin, j'entendais à la radio Philippe Frémeaux, le directeur d'"Alternatives Economiques" :
"Au lieu de demander aux plus riches de participer par l'impôt à la réduction des déficits, au nom de la solidarité nationale, Sarkozy recourt à l'emprunt. Il offre une rente à ces mêmes nantis, ceux qui peuvent encore épargner par ces temps de crise, rente qui leur sera payée par l'ensemble des Français !"
Ca, c'est de l'équitable... !
Ce politicien n'a jamais rien inventé. Il monte cet étalage tapageur (à 500 000 euros dit-on) pour, tout bêtement, imiter ses prédécesseurs de droite, en appliquant les recettes de sa caste. C'est de la pauvre politique. Qui, dans la forme seulement, veut singer les Ricains...
Et la télé accompagne : Yves Calvi, en un peu plus d'une heure, n'a pas avancé la moindre analyse originale avec ses "experts" ; le dernier cénacle où l'on sert la soupe... Ah, pardon ! ils ont quand même souligné que le kaporal élyséen avait oublié de citer la Fraternité... logique, n'est-ce pas ?
La pompe et le vedettariat, il adore ça, le roitelet. Mais il s'est fait durement épingler par la presse internationale qui, elle, n'est pas aux ordres. Versailles ? Ou bien c'est Louis XIV, ou c'est Thiers !!
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19 juin 2009
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Si nous rêvions un peu...
L'été 1953, le gouvernement français se fait attribuer des pouvoirs spéciaux "pour les économies et les réformes" en commençant par les retraites. Au nom de l'équité ! Si l'histoire ne bégaie pas... ?
Le projet : aligner l'âge du départ en retraite des agents des services publics sur celui des fonctionnaires, alors à 65 ans pour les sédentaires et à 58 ans pour les services actifs.
Aux PTT (Poste Télégraphe et Téléphone), l'administration voulait reclasser en "sédentaires" un certain nombre d'"actifs". Par ailleurs, de très nombreux nombreux postiers auxiliaires non titulaires étaient menacés de licenciement (peut-être 20 à 25 000).
Le 4 août, aux PTT, la CGT et la CFDT appellent à une heure de grève. FO attend de connaître le détail des intentions du gouvernement.
A Bordeaux, dans la cour de la poste principale, ils sont nombreux à condamner le manque d'énergie des dirigeants syndicaux de leur région. Un militant de FO, Jean Viguié avance : "seule un grève générale illimitée peur faire reculer le gouvernement". En un rien de temps le mot d'ordre se répand ; de même dans les services de la Recette principale. La grève générale est votée à l'unanimité ! Elle revendique :
- arrêt du licenciement et titularisation immédiate de tous les auxiliaires,
- maintien des droits acquis,
- paiement d'une indemnité uniforme mensuelle d'attente de 7 000 francs,
- paiement d'une prime de gestion de fin d'année uniforme de 20 000 francs pour compenser les sujétions et servitudes du métier (travail du dimanche et jours fériés, travail de nuit, pointe de trafic de fin d'année et période estivale).
A minuit, la grève est effective ! Dès le 5 août, est élu un comité de grève comprenant FO, CFTC, "autonomes", CGT. Quand la fédération postale FO appelle à la grève générale dans toute la France ! En plein mois d'août...
La fonction publique répond à l'appel. Les réquisitions de cheminots, quelques peines de prison (5 fois huit jours fermes) pour agents du central téléphonique, rien n'y fait. 4 millions de travailleurs sont en grève !
Plus de trains, d'avions, de bateaux, de douanes. Plus de téléphone, plus de courrier. Mendès-France déclare : "Nous sommes en 1788". La peur du gouvernement : que le privé se joigne au mouvement à la rentrée.
Alors, le pouvoir abandonne ses décrets-lois, plus de menace sur les retraites, des promesses sont faites sur l'augmentation des bas salaires.
Devant l'absence de débouché politique possible, un appel à reprendre le travail est lancé le 25 août.
Pas le même contexte, dites-vous ? Air connu... N'empêche que la comparaison laisse amer... et nous rappelle l'efficacité d'un mouvement de salariés !
Voir CERIZAY, HEULIEZ ET... L'AUTOGESTION - Satires et contusions
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17 juin 2009
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Prévenons tout de suite les internautes, citoyens honnêtes et de bonne foi, la prose d'Eva Joly a un côté extrêmement douloureux :
"La République française, une démocratie de façade où les criminels ont l'arrogance de l'impunité".
C'était à l'époque de Chirac et de l'affaire Elf. En 2008, il y a eu 26 ouvertures d'instructions financières en France ; il y en avait eu 120 en 2007... Mais l'Elysée fait dire et répéter combien il mène bataille contre les paradis fiscaux !
Le progrès est indéniable. Pour les voyous en col blanc, semble-t-il.
Il n'y a pas si longtemps, la kaporal Sarkozy s'était dressé, carrément, contre la "pénalisation excessive du droit des affaires". Excessive ? vous avez dit excessive ? Oh, c'est sûrement vrai s'il le dit.
D'ailleurs, voyez les conclusions du Greco (c'est le Groupe d'Etats contre la corruption au sein du Conseil de l'Europe) : "La France a restreint assez fortement sa compétence et ses capacités de poursuite à l'égard des affaires de dimension transnationale, ce qui est dommage..."
Qu'est devenu le juge d'instruction ? Il existe de ces coïncidences...
Au même moment, le gouvernement de Sarkozy annonce le renforcement de la lutte contre la fraude...aux prestations sociales ! Allons bon, pas la fraude fiscale ? Aussi le Snui (le Syndicat national unifié des impôts) dénonce l'affaiblissement des moyens du contrôle fiscal en France ; les magistrats financiers y déplorent l'état de la corruption.
Il y a des nations marquées par la malchance. Electorale.
On est en République,tout de même ! Oui, mais bananière, complètement bananière : au service des intérêts privés.
Transparency International parle "d'une image de la France quelque peu ternie". Juste un peu !
Par l'ami des milliardaires.
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17 juin 2009
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Précenons tout de suite les internautes, citoyens honnêtes et de bonne foi, la prose d'Eva Joly a un côté extrêmement douloureux :
"La République française, une démocratie de façade où les criminels ont l'arrogance de l'impunité."
C'était à l'époque de Chirac et de l'affaire Elf. En 2008, il y a
Voilà ce qu'Over-Blog a conservé de mon article, poutant sauvegardé ! Ah, ça vasouille...
A défaut, voir FIASCO SUR LES PARADIS FISCAUX - Satires et contusions
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13 juin 2009
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Intox number one !!
La cohorte des courtisans s'est mise en action.
Répétée sur tous les tons et sous toutes les formes, l'affirmation : "la victoire de l'UMP" ou bien "la victoire de Sarkozy" (aux élections européennes, bien entendu). C'est de la propagande la plus vile niant toute réalité. Voir ELECTIONS EUROPENNES : PROPAGANDE A LA SARKOZY ! - Satires et contusions .
La cohorte des courtisans se montre à visage découvert, au moins pour les chaînes publiques ; nous entendons, effarés, ce mensonge dans toutes les bouches des présentateurs patentés, transformés en propagandistes appointés. Dame ! le kaporal ordinaire s'est arrogé les droit de nommer leur patron...
Dans quel pays vivons-nous ? Au Gabon ? Chez Poutine ?
En théorie, il existe en France "une information plurielle de qualité, une exigence d'esprit critique, une résistance aux pouvoirs"... (?) Fariboles et calembredaines !!
Il est vrai que cela ne date pas d'hier, l'accaparement des organes de presse dans ce beau pays, dit démocratique, appelé la France.
Les marchands de canons monopolisent les journaux. Le fils Dassault a acheté, en septembre 2002, "L'Express", "L'Etudiant", "Lire" ; puis 82 % de la Socpresse qui comporte "Le Figaro", "Presse Océan", "Le Progrès de Lyon", "Le Dauphiné libéré", "La Voix du Nord"
Le fils Lagardère possède en tout ou en partie : "La Provence", "Nice-matin", "Var-matin", "Le Midi libre", "Le Journal du Dimanche" et contrôle "Le Parisien". Et même s'il y a eu quelques mouvements, cela ne change rien au problème !
Dites-leur donc d'imprimer à ces tartuffes qu'avec 28 % des voix, l'UMP obtient quasiment 42 % des sièges. Et de développer cette information...
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11 juin 2009
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Ca alors, un Sarkozy écolo, c'est trop rigolo... lui, le nucléaire-man !
Derrière les grimaces, il est judicieux d'observer l'attitude des compagnies d'assurance. Il ya une suspicion par rapport aux antennes de téléphonie mobile ? Eh bien, justement les assureurs ne veulent plus les couvrir. De même, pour l'Europe et les USA, les compagnies songent à exclure tout doucement de leurs garanties les risques de tempête et d'innondation.
Malgré le "paquet Energie-climat" ? Malgré son objectif de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre par rapport à 1990 ? une consommation énergétique relevant pour 20 % des énergies renouvelables ? et 20 % d'économies d'énergie ? Le tout à l'horizon 2020. Ca sonne comme une pub faramineuse, "20 %" ! Et c'est le hic ! Quand une promesse fleure la propagande, personne n'est obligé de se faire avoir. Surtout pas les assureurs.
Le climat n'est pas à la confiance, on dirait.
Aussi, c'est la façon de se mettre en avant qu'a Sarkozy-de-Nagy-Bocsa-de-l'Elysée qui n'inspire guère confiance. A juste titre ! Pour "ficeler" l'accord au plus vite, il a accepté de sacrés compromis avec la Pologne et ses mines de charbon, avec l'Allemagne et ses grosses voitures, avec l'Italie et son immobilisme. Si bien que les "20 %" sont de la poudre aux yeux. Tout dans l'apparence !
C'est du faux-semblant, de la frime, du simulacre, de l'oripeau.
Z'aviez cru au Sarkozy écologique... ?
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9 juin 2009
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Et c'est Bertrand qui récite sa leçon apprise avec le répétiteur Sarkozy. Et ce sont tous les godillots qui passent à proximité du moindre micro qui... (vous m'avez compris)
Passe encore pour les militants gueulant bêtement "On a ga-gné !" jusqu'à en perdre la voix, prenant l'élection pour un match de footeux...
Mais que tous, tel le choeur des vierges, nous resservent le piteux mensonge de Sarkozy avant le vote : "Etre en tête, c'est avoir gagné", faisant fi de la division des adversaires qui, réunis, le devancent. (l'UMP n'a plus aucune réserve de voix !). Oubliant au passage que 62 % de Français refusent sa politique... ben voyons.
Mieux encore : le même, kaporal à l'Elysée, au vu des sondages, nous serinait depuis des semaines que si l'UMP arrivait en tête, ce serait la première fois qu'un parti au pouvoir le réussirait aux élections européennes. Et tous les lascars de l'HUM-PE de le répéter à qui mieux mieux.
Archi faux ! cela est déjà arrivé deux fois, en 1979 avec Simone Veil, et en 1999 avec François Hollande. L'Elysée du mensonge...
Jusq'au "Monde" qui parle de victoire de Sarkozy ; il était attendu à 26 %, il fait 28. Tudieu, la victoire ! On rame en pleine intox. La journaliste du "Monde"... elle n'a pas été mise au courant du tableau imprimé au beau milieu de son article ? Comme si on l'avait glissé pendant qu'elle regardait au plafond... les peintures de la Chapelle Sixtine, si ça se trouve ?! Ce tableau note la doite à 34 % (avec "Libertas"), la gauche à 39 %. Sacré victoire !!
Ces mensonges nous rajeunissent. Cela rappelle quand ce même journal répercutait sans rougir les bobards de Sarkozy pendant la campagne présidentielle, quand il voulait réunir plus de supporters que l'avait fait Chirac. "Le Canard enchaîné" rapportait qu'ils avaient du rétrécir la salle pour masquer le manque d'affluence. Eh bien, "Le Monde" n'y avait vu que du feu et propageait sans honte le nombre de présents que la propagande Sarkozy désirait. Journal qu'on disait "de référence"... de révérence, oui ! Déférence toute !
Au passage, merci aux abstentionnistes qui ont permis la cote de l'UMP et donc le tour de passe-passe ! Ils n'avaient pas remarqué cette chose étrange, une campagne électorale qui ne nous imposait aucune sarcauserie à tics (de langage). Le Trésdisant faisait le dos rond, attendant que ça se passe. "Ca", c'était l'élection qu'il redoutait ? il craignait 25 % ?
Aujourd'hui, on imagine fort bien l'autocrate déclarant "Dites "victoire" et... faites passer..." (sans même dire merci). Que voilà de la fine propagande.
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