Il semble que s’ébauche parmi certains journalistes de droite, façon « L’Opinion », une théorie - qui emprunte à la notion de triangle – et qui avancerait que le discours de « la gauche » au pouvoir est une stratégie pour déstabiliser son opposition de droite.
A rapprocher de l’initiative de SarCOQ quand, retors comme pas deux, il avait nommé dans son gouvernement des transfuges du style Besson ou Kouchner qui s’étaient empressés d’accepter, tels des renégats…
Fort bien. Cela leur a fait dilapider un peu de matière grise à ces journaleux mais encore aurait-il fallu que la stratégie soit efficace ! Or, SarCOQ a perdu le pouvoir…
Et Hollande a paumé la moitié de ses électeurs et, par voie de conséquence, 155 villes aux municipales !
Il faut donc chercher ailleurs la droitisation de « la gauche », heu… pardon, de ces simili-socialos.
Un précédent serait Schröder qui a imposé une politique de droite à l’encontre des travailleurs allemands et pour cela s’est fait battre aux élections. Pour boucler la boucle, il est allé pantoufler chez Gasprom, cette entreprise avec laquelle il avait traité quand il était au pouvoir. Voilà un vénal dévalorisé.
Alors, quelle est la raison de la droitisation de cette fausse gauche ? Peut-être bien, si ça se trouve, la croyance dans ce vieil adage selon lequel « la France se gouverne au centre », le manque de courage politique, la frousse de « tomber à gauche »… ?
Petits bonshommes.
En ce qui concerne les journalistes, la cause de ce refus de traiter de la vraie raison de l’impopularité de Hollande et des simili-socialos serait bien de ne pas avouer une autre alternative possible. Ça fout le vertige, n’est-il pas vrai ???