12 février 2010
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17:21
"L'autre gauche" l'avait nommée Jean-Luc Mélenchon car il s'agissait d'empêcher la droite - et les tenants d'un PS recentré - d'étiqueter tout ce qui veut se distinguer d'eux d'"extrémisme".
"La gauche de gauche" disait Pierre Bourdieu.
"La gauche radicale" selon certains.
"La gauche sociale et écologique" d'après "Politis". "Il s'agit de pousuivre l'alliance des Européennes, de l'élargir et de l'enraciner dans la durée, dans les luttes et dans les urnes".
En Europe, avec Die Linke en Allemagne, ou le Bloc des gauches au Portugal, Syriza en Grèce, des dynamiques unitaires se font jour. Au Pays-Bas, c'est le SP, parti socialiste (et non pas social-démocrate); au Danemark, c'est l'Alliance rouge et verte; aussi le SP irlandais.
Un ras-le-bol se dessine face à ces "socialistes" mous...
"La gauche de gauche" disait Pierre Bourdieu.
"La gauche radicale" selon certains.
"La gauche sociale et écologique" d'après "Politis". "Il s'agit de pousuivre l'alliance des Européennes, de l'élargir et de l'enraciner dans la durée, dans les luttes et dans les urnes".
En Europe, avec Die Linke en Allemagne, ou le Bloc des gauches au Portugal, Syriza en Grèce, des dynamiques unitaires se font jour. Au Pays-Bas, c'est le SP, parti socialiste (et non pas social-démocrate); au Danemark, c'est l'Alliance rouge et verte; aussi le SP irlandais.
Un ras-le-bol se dessine face à ces "socialistes" mous...