18 août 2009
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TRAVAIL DU DIMANCHE, CONVENTIONS COLLECTIVES, NEGOCIATIONS
Alors que je me rasais en ne pensant à rien d'autre, une info à la radio me ramène à la dure réalité. C'est la Présidente des commerçants de Saint-Malo qui s'offusque de la nouvelle loi votée par le troupeau de moutons de l'Hum-PE, au sujet du travail du dimanche.
"Je ne comprends pas cette loi : c'est un retour en arrière ! A Saint-Malo, nous ouvrons seulement un dimanche sur deux pour préserver la vie de famille, c'est normal. Et nous payons double les dimanches, c'est encore normal".
Vous avez bien lu : ce n'est pas Besancenot qui parle, ni Mélenchon !
C'est une patronne commerçante qui tient ces propos.
Ah, mais c'est que l'Ultra-réac du Cap Nègre (oh pardon, de l'Elysée) en fait une priorité ! D'ailleurs, des priorités, il en a une poche arrière remplie. Toutes d'arrière-garde !!
Et d'argumenter = ce travail du dimanche se fera sur la base du volontariat. Tas d'hypocrites ! Comme ils sont retors... Comme si le salariat n'était pas en état de subordination au "boss"... Il n'imagine même pas, le kaporal-chef Sarkozy, qu'il s'adresse à une foule de types et de typesses qui éprouve ça quotidiennement ? Il reste entendu qu'une partie des employés, pour améliorer leurs pauvres revenus, sont prêts à tous les renoncements, y compris à sacrifier leur vie de famille, ne saisissant pas la plupart du temps, que cette souffrance, ils la doivent à la rapacité patronale. C'est la raison pour laquelle une négociation un tant soit peu équitable ne peut se dérouler que par branches d'activité.
Tandis que l'Ultra-réac se la coule douce chez belle-maman, lui, il préconise évidemment la négociation par entreprises... On est réac ou on ne l'est pas !
Et vive le Cap Nègre !!
Alors que je me rasais en ne pensant à rien d'autre, une info à la radio me ramène à la dure réalité. C'est la Présidente des commerçants de Saint-Malo qui s'offusque de la nouvelle loi votée par le troupeau de moutons de l'Hum-PE, au sujet du travail du dimanche.
"Je ne comprends pas cette loi : c'est un retour en arrière ! A Saint-Malo, nous ouvrons seulement un dimanche sur deux pour préserver la vie de famille, c'est normal. Et nous payons double les dimanches, c'est encore normal".
Vous avez bien lu : ce n'est pas Besancenot qui parle, ni Mélenchon !
C'est une patronne commerçante qui tient ces propos.
Ah, mais c'est que l'Ultra-réac du Cap Nègre (oh pardon, de l'Elysée) en fait une priorité ! D'ailleurs, des priorités, il en a une poche arrière remplie. Toutes d'arrière-garde !!
Et d'argumenter = ce travail du dimanche se fera sur la base du volontariat. Tas d'hypocrites ! Comme ils sont retors... Comme si le salariat n'était pas en état de subordination au "boss"... Il n'imagine même pas, le kaporal-chef Sarkozy, qu'il s'adresse à une foule de types et de typesses qui éprouve ça quotidiennement ? Il reste entendu qu'une partie des employés, pour améliorer leurs pauvres revenus, sont prêts à tous les renoncements, y compris à sacrifier leur vie de famille, ne saisissant pas la plupart du temps, que cette souffrance, ils la doivent à la rapacité patronale. C'est la raison pour laquelle une négociation un tant soit peu équitable ne peut se dérouler que par branches d'activité.
Tandis que l'Ultra-réac se la coule douce chez belle-maman, lui, il préconise évidemment la négociation par entreprises... On est réac ou on ne l'est pas !
Et vive le Cap Nègre !!