6 mars 2014
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16:43
Il y a quinze jours j'ai fait un super-bide avec un extrait de ma nouvelle au coeur de la forêt africaine...
Misère... vous en connaissez beaucoup de polars dans lequel l'assassin est un virus attrapé dans la moiteur équatoriale... ?
Est-ce que vous imaginez seulement le nombre de pilules de quinine que j'ai dû engloutir pour rédiger cette affaire dans l'enfer vert... ?
Sans compter l'angoisse endurée à l'idée que mon stylo pouvait fort bien servir de vecteur de contamination... Et le clavier, alors !
A peine rescapé de cette séquence aventureuse, me voilà projeté dans le vestiaire d'un stade de foot avec un joueur mort sur les bras ! Et je dois m'occuper de son meilleur ami qui croule sous les soupçons... A moi de me débrouiller pour qu'il se consacre à s'innocenter dans la vaste ville. Avec tous ces faux semblants à chaque rencontre provoquée... Mieux vaut ne pas être migraineux !
Je le dis tout net : cette indifférence confine à un déficit colossal d'empathie !! (C'est pas joli-joli...)
Aussi je vous livre le LIEN vital.