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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 16:58

   Mais une dure réalité : il ne reste plus que 11 jours pour bénéficier des prix d'ebooks à 2,99 € !

 

   Je veux parler de mes romans aux éditions Hélène Jacob qu'on peut commander directement sur Amazon.

 

   Pour cela, je vous convie à lire les critiques et extraits regroupés sur mon site.

 

   Deux longues nouvelles policières sous le titre "Dix jours pour mourir" (suivi de "Mortelle tricherie"),

voir : http://www.de-la-plume-aux-liseuses.com/dernier-livre-deux-nouvelles-policières.php

 

   Un roman policier dit "de la traque" intitulé "Mortifère, l'actionnaire !"

voir : http://www.de-la-plume-aux-liseuses.com/mortifere-l-actionnaire-un-suspense-policier.php

 

  Ils vont passer à... 4,49 € !

 

  Il restera encore mon roman satirique "Ô AUDIMAT..." qui garde son prix de 2,99 €.

voir : http://www.de-la-plume-aux-liseuses.com/une-moquerie-des-pipoles-extrait.php

 

   Afin de remercier ma générosité infinie... concoctez-moi quelques commentaires débordants de gratitude (?)

 

 

 

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12 juillet 2014 6 12 /07 /juillet /2014 16:06
   Je suis impayable : hier j'ai juste oublié d'insérer un lien dans cette bonne nouvelle du classement de "Dix jours pour mourir" dans le top 100 Kindle !
   A propos de la première nouvelle où le tueur en série se trouve être un virus contracté dans la forêt primaire africaine, il s'avère que ce texte était prémonitoire dans la mesure où le virus ebola est réapparu récemment en Guinée, en Sierra Leone et au Libéria. Avec une grande inquiétude pendant un temps sur le risque de ne pouvoir maîtriser la contamination. C'est cette angoisse que j'ai exploitée dans ma nouvelle !
   Pour la deuxième, c'est un sujet pour la télévision (qui n'en manque pas, me direz-vous !). Un innocent mué en suspect numéro un doit, seul contre tous, trouver à se disculper. Tout cela dans le monde du sport amateur gagné par le dopage... C'est un peu échevelé !
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11 juillet 2014 5 11 /07 /juillet /2014 17:40
   Entr'acte!
   J'apprends de mon éditeur que mon recueil de deux longues nouvelles policières sous le titre "Dix jours pour mourir" se classe 10 ème dans le top 100 Kindle.
  Pourvu que ça dure...
   Si vous voulez participer, ce serait avec grand plaisir !
   Format numérique à 2,99 € et version papier à 12,45 dans la même monnaie...
   Un grand merciiiiiii !!!!!

 

 

  

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 16:34

   JE LIS CETTE CHRONIQUE EN JUBILANT (CE QUE C'EST QUE LA FATUITE, L'IMMODESTIE ET J'EN PASSE...). MAIS COMMENT VOULEZ-VOUS QUE JE VOUS CAUSE DE MON BOUQUIN... ?

 

 

JC

 

Mortifère, l'actionnaire
Jean-Claude Thibault
Éditions Hélène Jacob

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Une fois de plus, cet auteur a réussi à capter mon intérêt par son écriture enlevante.


Mortifère, l'actionnaire est un roman socio-politique dont les héros deviennent des hors-la-loi pour une cause. Épris de justice sociale, le couple Bruno et Soleil rencontrent Tancrède de Gaspard de Morange, un fils de riches bourgeois qui les entraînent dans son plan afin d'attaquer le système économique.


Une belle réflexion sur le gain à tout prix tisse cette histoire endiablée. Avec comme trame de fond des licenciements de masse pour gonfler les profits, l'auteur nous plonge dans une réalité contemporaine qui nous donne froid dans le dos. Bruno et Soleil sont les Bonnie and Clide d'aujourd'hui ou les Robins des Bois avec comme cible, les dirigeants de la mondialisation.


Je ne peux vous en dire davantage sans dévoiler l'intrigue. Par contre, je peux vous affirmer que le suspens est intense jusqu'au dénouement de la fin. L'écriture fluide soutient le tempo sans temps mort. Les personnages sont attachants et leur conscience sociale nous émeut.


Pour tous ceux qui s'intéressent aux coulisses du pouvoir et à l'actualité, vous serez comblés.

 

voir l'éditeur : http://www.editionshelenejacob.com/store/products/mortifer-lactionnaire

 

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21 mai 2014 3 21 /05 /mai /2014 14:43

   M'est revenu à l'esprit cette séquence abrupte du roman =

 

L'homme à la lourde mâchoire récupérait sa poubelle sur le trottoir. Il jeta un coup d'oeil inquisiteur aux alentours avant de franchir la grille basse qui délimitait le petit jardinet. La maison individuelle au crépi jaune était identique, à peu de chose près, aux habitations voisines : elle sortait du même moule.

La poubelle rangée, il scruta une nouvelle fois la rue de son air méfiant. C'est à ce moment qu'il remarqua l'aveugle aux lunettes noires.

La canne blanche en avant, le menton relevé, un bonnet de ski noir enfoncé jusqu'aux yeux, il passait lentement sur le trottoir d'en face dans son imperméable mastic trop lâche.

De son regard buté, il le suivit un petit moment. Puis tourna les talons.

Il atteignait sa porte d'entrée quand il vit l'aveugle traverser la rue pour revenir vers lui. Son masque se figea. Parvenu devant sa porte, l'aveugle stoppa. Le malabar nota qu'il portait au bras droit un brassard de la Croix-Rouge.

D'autorité, l'aveugle repoussa la grille basse et entra dans le jardinet. Un tronc gris fer avait surgi dans sa main gauche tandis que, de l'autre main, il continuait les moulinets avec sa canne blanche. Il portait des gants de laine claire.

Le puissant maxillaire se crispa, faisant saillir les muscles. Il hésitait. Enfin, il ouvrit brutalement la porte d'entrée.

— Restez-là ! Je vais vous chercher un billet, lança-t-il.

Péremptoire, l'aveugle brandissait le tronc de métal gris.

L'homme entra précipitamment dans son vestibule et fila vers l'une des portes du fond. Il entendit l'aveugle se cogner. Au chambranle de l'entrée ? Il fouillait fébrilement le tiroir de la table de nuit, extirpant son "Manhurin" de service quand la porte de la chambre heurta le mur.

— Tss.. tss... tss... fit l'aveugle.

Trop tard ! La main droite de l'intrus brandissait un très court pistolet-mitrailleur.

— Un "Scorpion" tchèque, enregistra en un réflexe éclair, l'homme piégé.

De la main gauche, l'aveugle lui faisait signe de se coucher sur le faux tapis chinois.

Il laissa tomber sur le lit son arme de service et fit mine de peiner à se mettre à quatre pattes.

L'aveugle rugit de colère.

Sans plus insister, il s'allongea à plat ventre.

L'aveugle rugit à nouveau. D'un geste virulent de la main gauche, il lui ordonnait de se mettre sur le dos. Ce qu'il fit sans barguigner. Alors, il remarqua le silencieux... Sur-le-champ, des gouttes de sueur perlèrent à son front.

L'arme qui le visait pleine face, descendit avec lenteur vers sa poitrine puis son ventre, suivit sa jambe gauche pour s'immobiliser en direction du genou.

Un atroce cri de gorge emplit la chambre. Le corps de l'homme eut un brusque soubresaut. Sa tête versa sur le côté. Un magma sanglant imprégnait le tissu clair du pantalon au niveau du genou.

Soudain, le visage de l'aveugle exprima une angoisse. Sur la table de nuit, il saisit un sous-verre exposant une photo de femme, le porta devant la bouche de la victime... nulle trace de respiration. Un violent geste de dépit lui échappa.

Il tournait les talons quand il se ravisa et revint fouiller le tiroir de la table de nuit : le message y était bien :

FLIC FAUX-TEMOIN : TU VAS PAYER !

Il l'empocha. Ainsi que la douille qui avait roulé sur le tapis. Puis il ramassa la canne blanche, fit disparaître le pistolet-mitrailleur dans sa manche et alla se poster derrière la porte d'entrée.

Une fois dans la rue, il dut éviter un gamin au premier carrefour, de peur que celui-ci l'aidât à traverser.

 

 

Si cela vous tente... encore 10 pages à lire aux éditions Hélène Jacob

 

 

 

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 18:16

828423155_112118724c.jpg   Entendu ce matin dans un bistrot ordinaire à l'heure du petit café :

 

   L'UN =

Valls... ? Valls... ? Vous voulez dire Vals-les-Bains ? Cette station thermale aux six sources dont les eaux ne doivent être prises que sur ordonnance médicale... ? Sauf, évidemment, la source Saint-Jean qui peut-être bue sans aucune prescription.

 

   L'AUTRE =

Mais je ne vous parle pas d'eau de Vals !

 

   L'UN =

D'abord, il n'y a pas d'O dans Vals, c'est un A !

 

 

   L'AUTRE =

Il aurait perdu les eaux... ?

 

   L'UN =

Alors, c'est que l'accouchement est imminent.

 

   L'AUTRE =

Compte tenu des circonstances, faut s'attendre à une fausse-couche !

 

   L'UN =

Le pauvre homme... Mais c'est pire que ce que vous imaginez : c'est de l'eau carbogazeuse...

 

   L'AUTRE =

L'eau... comme vous dites... ?

 

   L'UN =

Absolument : car celle contient une quantité avérée de gaz carbonique !

 

   L'AUTRE =

Les écolos vont encore bougrement grimacer.

 

   L'UN =

On n'avait vraiment pas besoin de ça...

 

   Les mines déconfites gagnaient de proche en proche...

 

 

 

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6 mars 2014 4 06 /03 /mars /2014 16:43
2105878196_7d83d5ff3b.jpg   Il y a quinze jours j'ai fait un super-bide avec un extrait de ma nouvelle au coeur de la forêt africaine...
   Misère... vous en connaissez beaucoup de polars dans lequel l'assassin est un virus attrapé dans la moiteur équatoriale... ?
   Est-ce que vous imaginez seulement le nombre de pilules de quinine que j'ai dû engloutir pour rédiger cette affaire dans l'enfer vert... ?
   Sans compter l'angoisse endurée à l'idée que mon stylo pouvait fort bien servir de vecteur de contamination... Et le clavier, alors !
   A peine rescapé de cette séquence aventureuse, me voilà projeté dans le vestiaire d'un stade de foot avec un joueur mort sur les bras ! Et je dois m'occuper de son meilleur ami qui croule sous les soupçons... A moi de me débrouiller pour qu'il se consacre à s'innocenter dans la vaste ville. Avec tous ces faux semblants à chaque rencontre provoquée...  Mieux vaut ne pas être migraineux !
   Je le dis tout net : cette indifférence confine à un déficit colossal d'empathie !! (C'est pas joli-joli...)
   Aussi je vous livre le LIEN vital.
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20 février 2014 4 20 /02 /février /2014 17:19

   Oui : J - 11 !!

 

 

   Extrait.

 

 

 

   PRECIEUSE  INFORMATION  !

 

 

 

   Il est pas beau cet article... ?

 

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 14:52

6994412453_2b901269b4.jpg  

Les « class actions » constituent un recours collectif contre des entreprises qui, par exemple, auraient pu léser leurs clients ;  contre des « compagnies » comme l’on dit aux Etats-Unis où est née cette faculté. Laquelle existe dans douze pays de l’Union européenne. Mais pas en France !


C’est que le MEDEF est contre ! La CGPME aussi ! Quand bien même les associations de consommateurs y sont favorables. Les interdire, c’est un excellent moyen d’enrayer les recours par le coût des avocats


Cela me fait immanquablement penser aux célèbres lois Le Chapelier de 1791, lors de la Révolution française. Le premier décret qu’il propose, ce Le Chapelier, interdit le droit de pétition à titre collectif. Et Marat écrit : « Dire que le droit de pétition est individuel, qu’il ne peut se déléguer, c’est avancer à la fois cent absurdités ; c’est déclarer que des sociétés d’ouvriers, d’artisans, de marchands, de savants, etc., ne peuvent avoir […] aucun intérêt commun à défendre, aucun tort commun à faire réparer. »


Lorsqu’est voté, le 14 juin 1791, le second (et le plus fameux !) décret proposé par le même Le Chapelier interdisant toutes associations et coalitions… l’objectif est carrément révélé ! Seul Marat se dresse contre.


Nul doute que le MEDEF et la CGPME en rêvent !!


Aujourd’hui encore, le mot syndicat ouvrier reste la sainte horreur du libéralisme 

 

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 17:04

   Avouez qu'il y a longtemps que je vous avais bassiné avec mon roman...

 

   En voici une critique =

 

  •  

Je lis en numérique ....et j'adore

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Messages novembre 2012

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Ô audimat

18 novembre 2012

Ô audimat

Description : odimat 

Ô AUDIMAT
Jean-Claude Thibault

Quelle est la vie des enfants de vedettes de télévision ?

Le père de Gérald est animateur d'une émission de variété à la télévision. C'est la vedette de l'heure. Avec son demi-frère, ils grandissent dans un monde d'émerveillement, illusionnés par l'image que projette les médias. Pour eux, la vie est parfaite comme à la télé et leur père est le " plus hot" des papas.

En grandissant, Gérald vit des déceptions qu'il l'amène à devenir de plus en plus lucide et à percer le mystère de l'image qui n'est pas la réalité derrière les coulisses. Ce sont ses réflexions et son cheminement que l'auteur nous raconte dans un langage drôle et vivant. Les observations du petit Gérald lui font poser beaucoup de questions sur la futilité du paraître au lieu de " l'être". En commençant par sa famille avec sa belle-mère, son demi-frère, sa vraie mère et sa demi-soeur qui lui est présentée à toute vitesse.

Tout est bien raconté, avec des scènes humoristiques lorsque son père reçoit chez-lui des vedettes et les personnes travaillant sur son émission. Les deux frères assistent à cette "parade" où chacun essaie de profiter de la situation pour élever leur position du moment quitte à prendre la place des autres. Magouilles et trahisons y sont au rendez-vous.

L'écriture est sensible grâce au climat de confidence que l'auteur a su dégager par le personnage de Gérald. Tout en devenant de plus en plus lucide sur le métier de son père, Gérald arrive à éprouver de la compassion et comprend que ce métier n'est pas si facile et honnête qu'il croyait. Ses propres sentiments nous touchent car, qui ne se souvient pas de notre tristesse lorsque nous avons découvert que le Père Noël n'existait pas et que tout le monde nous mentait.....

J'ai bien aimé découvrir votre roman M. Thibault et découvrir votre belle écriture. Merci de m'avoir suggéré sa lecture que je recommande à tous.

 

                                                       "Ö AUDIMAT..." sur Amazon

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