C'est lamentable de parti-pris.
S'il est une chose indéniable, c'est que la productivité augmente ne serait-ce que via l'informatique. "Une tendance lourde" concluait André GORZ.
Aussi, le "travailler plus" de Bobard-man revenait dans le "meilleur" des cas à dégager des profits de plus en plus imporatnts... pour les actionnaires !
L'autre possibilité restait, et reste, d'augmenter les salaires tout en réduisant le temps de travail. Avec plus de quatre millions de chômeurs, partager le travail est tout sauf une ânerie. Mais Fanfaron 1er, en bon ex-maire de Neuilly ne veut rien partager ("Ce mot, quelle horreur !"). cela lui rappelle "les partageux" Ouille-ouille-ouille...
"Le débat sur les retraites met en cause la répartition des gains de productivité" nous assurent Attac et la Fondation Copernic.
C'est la répartition entre le travail et le capital qui est en jeu.
Hors le partage du travail, donc la réduction du chômage, il n'y a pas de solution pour les retraites. On a vu la "réforme Fillon" qui devait avoir résolu le problème il y a sept ans (!?!). Itou avec celle-ci. Alors, la retraite par capitalisation ? Cette fois, la madame Parisot en bave sur ses chaussures... (la malpropre !)
Un débat interdit par Sarkozy et le MEDEF ? Pauvre démocratie.
Ne lâchons pas !!!