9 septembre 2009
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16:41
INTERET PARTICULIER, INTERET GENERAL, BANQUES DE DEPOT ET BANQUES D'AFFAIRES, SARKOZY REACTIONNAIRE
Ah, c'est une belle réussite. Tandis que je me consacrais à la chaise longue, j'apprenais que les banques avaient fait de l'argent pendant la crise ! C'est politiquement une grande réussite de l'Ultra-réac soi-même ! L'intérêt financier particulier l'emporte sur l'intérêt économique général ? Est-ce possible...
"On" a juste oublié de séparer les deux métiers des banques : activités de financement ordinaire ET activités de marché. Il aurait fallu, pour diriger le soutien public vers les entreprises, une nationalisation temporaire en début de crise. Puis ensuite, séparer les deux métiers des banques. Exactement ce qu'avait fait Roosevelt et qui a tenu jusqu'en 1990.
Mais aujourd'hui, avec un réactionnaire fieffé... nous n'avons que l'esbrouffe. Ca commence par des gros titres dans les journaux : "Sarkozy = ultimatum aux banquiers". Et trois lignes plus bas : "Le gouvernement exclut de forcer la main aux banquiers" avoue-t-on en haut lieu". Et cela avec chantage mou à la clé, dénoncer publiquement les établissements rétifs. En retour, chantage au départ des salles de marché parisiennes vers Londres en cas de fiscalité supplémentaire.
Nous voilà à Guignol !
Et si l'Etat était entré dans les conseils d'administration... ?
Il y a mis assez de (notre) grisbi !!
Ah, c'est une belle réussite. Tandis que je me consacrais à la chaise longue, j'apprenais que les banques avaient fait de l'argent pendant la crise ! C'est politiquement une grande réussite de l'Ultra-réac soi-même ! L'intérêt financier particulier l'emporte sur l'intérêt économique général ? Est-ce possible...
"On" a juste oublié de séparer les deux métiers des banques : activités de financement ordinaire ET activités de marché. Il aurait fallu, pour diriger le soutien public vers les entreprises, une nationalisation temporaire en début de crise. Puis ensuite, séparer les deux métiers des banques. Exactement ce qu'avait fait Roosevelt et qui a tenu jusqu'en 1990.
Mais aujourd'hui, avec un réactionnaire fieffé... nous n'avons que l'esbrouffe. Ca commence par des gros titres dans les journaux : "Sarkozy = ultimatum aux banquiers". Et trois lignes plus bas : "Le gouvernement exclut de forcer la main aux banquiers" avoue-t-on en haut lieu". Et cela avec chantage mou à la clé, dénoncer publiquement les établissements rétifs. En retour, chantage au départ des salles de marché parisiennes vers Londres en cas de fiscalité supplémentaire.
Nous voilà à Guignol !
Et si l'Etat était entré dans les conseils d'administration... ?
Il y a mis assez de (notre) grisbi !!